En parallèle à l’assemblée plénière de la GPAI, le Groupe de travail sur l’intelligence artificielle responsable (RAI) organise un événement dédié au rôle de l’intelligence artificielle dans la réalisation des objectifs du développement durable.

Un an après le Sommet de Montréal, le Groupe de travail chargé de la gouvernance des données présente au Sommet GPAI de Paris ses dernières avancées en matière de partage de données au profit de la société.

Le Groupe de travail Innovation et Commercialisation du PMIA s’engage pour que l’IA améliore les conditions de production des cultures et le bien-être des animaux de la ferme, ainsi que la traçabilité des produits tout en préservant les réserves en eau et en terre.

Mieux saisir les enjeux de l’IA du futur sur le travail. C’est toute l’ambition du Living Lab, un laboratoire virtuel sur lequel collaborent actuellement les experts du GPAI. Un véritable écosystème de co-création pour la recherche et l’innovation centrées sur l’humain.

De quelle façon l’IA peut-elle améliorer l’éthique dans le monde du travail ? Face à l’absence d’études spécifiques dans ce domaine, le comité d’experts Future at Work Working Group s’est attelé cette année à répondre à cette question.

Le Groupe de travail du PMIA sur la gouvernance des données s’engage pour que l’IA soit compatible avec les droits de l’homme, l’inclusion, la diversité et la croissance économique tout en bénéficiant à la société et dans le respect du développement durable.

Le Groupe de travail sur l’IA responsable vise notamment à lutter contre le réchauffement climatique mais aussi contre l’émission de gaz à effet de serre lors de son utilisation.

L’IA pourrait jouer un rôle prépondérant dans le processus de découverte de nouveaux médicaments. Le groupe d’experts du GPAI a proposé une feuille de route équilibrée pour atteindre le bon niveau d’incitations et ainsi mieux orienter les marchés publics là où les marchés ne parviennent pas à répondre aux problèmes urgents.

Peu familières avec l’IA, les PME représentent, en fonction des pays entre 80 et 90 % des emplois et quelque 70 à 75 % du PIB. Pour les aider à mieux connaître cette technologie, les experts du GPAI ont mis sur pied un modèle de portail où peuvent se rencontrer virtuellement fournisseurs de solutions IA et PME.

Informaticiens en herbe ou spécialistes de sciences sociales, des étudiants de différents pays ont provisoirement quitté les bancs de l’université pour se transformer en enquêteurs GPAI. Une façon pour ces futurs professionnels de se frotter aux problématiques de l’IA en entreprise et de prendre la relève.

Dès l’an prochain, les experts du PMIA entendent démarrer une réflexion sur l’impact climatique sur la biodiversité afin de comprendre comment les outils de l’IA peuvent être utilisés à cette fin.