Interview avec Thomas Hahn
Chief Expert Software chez Siemens, Thomas Hahn défend la thèse d’une approche réglementaire de l’IA fédérée au niveau européen. De nombreuses initiatives sont en cours.
Chief Expert Software chez Siemens, Thomas Hahn défend la thèse d’une approche réglementaire de l’IA fédérée au niveau européen. De nombreuses initiatives sont en cours.
Responsable des relations internationales au Département de la transformation numérique italien, Daniela Battisti partage son enthousiasme pour le travail déjà effectué au sein du GPAI et évoque les futures pistes de réflexion. Au programme : l’étude de l’impact de l’intelligence artificielle sur les services publics.
Yoichi Iida, directeur de la recherche internationale et de la coordination des politiques au ministère des Affaires intérieures et des Communications du Japon (MIC-Japon), revient sur les réalisations du GPAI et discute des attentes pour l’avenir.
Chercheur à l’INRIA et spécialiste de l’apprentissage automatique, Francis Bach revient sur les principaux succès de l’intelligence artificielle mais évoque aussi les limites de cette technologie dans certains domaines.
Mieux saisir les enjeux de l’IA du futur sur le travail. C’est toute l’ambition du Living Lab, un laboratoire virtuel sur lequel collaborent actuellement les experts du GPAI. Un véritable écosystème de co-création pour la recherche et l’innovation centrées sur l’humain.
Le potentiel de développement de l’IA et de l’apprentissage automatique est considérable en Amérique latine. Mais si l’IA peut résoudre la question du sous-développement de la région, elle peut aussi, en l’absence d’une démocratisation suffisante de l’accès aux technologiques numériques de la population, accroître les inégalités.
De quelle façon l’IA peut-elle améliorer l’éthique dans le monde du travail ? Face à l’absence d’études spécifiques dans ce domaine, le comité d’experts Future at Work Working Group s’est attelé cette année à répondre à cette question.
Le Groupe de travail du PMIA sur la gouvernance des données s’engage pour que l’IA soit compatible avec les droits de l’homme, l’inclusion, la diversité et la croissance économique tout en bénéficiant à la société et dans le respect du développement durable.
Jeni Tennison, Co-Présidente du Groupe de travail chargé de la gouvernance des données du PMIA, souligne la nécessité de partager équitablement les données via la création de fiducies de données mondiales.
Le Groupe de travail sur l’IA responsable vise notamment à lutter contre le réchauffement climatique mais aussi contre l’émission de gaz à effet de serre lors de son utilisation.
L’IA pourrait jouer un rôle prépondérant dans le processus de découverte de nouveaux médicaments. Le groupe d’experts du GPAI a proposé une feuille de route équilibrée pour atteindre le bon niveau d’incitations et ainsi mieux orienter les marchés publics là où les marchés ne parviennent pas à répondre aux problèmes urgents.
Comment l’IA peut-elle être utilisée pour combattre des pandémies comme le COVID-19 ? Comment prévenir des menaces similaires à l’avenir ? C’est la problématique sur laquelle s’est penché cette année le groupe de travail sur l’IA et la réponse aux pandémies (AI and Pandemic Response Working Group 2021 Report)
Au-delà d’un rôle de coordination, le rôle du CEIMIA est aussi d’offrir du financement de démarrage et de rechercher activement, avec les experts, des partenaires de connaissance ou encore des partenaires financiers.
Jordan Zed, Président du Comité directeur du PMIA (GPAI Steering
Committee Co-Chair), rappelle le travail accompli ces dix-huit derniers mois par les experts
du PMIA pour promouvoir une intelligence artificielle responsable mais aussi le rôle qu’ont à
jouer les gouvernements dans ce domaine.
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